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11 avril 2012 3 11 /04 /avril /2012 00:11

Pascal Serre identitéMourir vieux sans jamais avoir été jeune. Mourir jeune sans jamais avoir été vieux. Découvrir que la mort n’a pas de nom. Serrer la main d’un mort à travers les douze clous de son cercueil. Entendre pleurer les siens sans écouter leur cœur. Découvrir le rire des enfants et ne plus dire que demain je serais grand. Rejoindre la mer cruelle où dansent les dernières sirènes qu’une cloche rappelle à l’ordre derrière les vitraux de notre conscience. Perdre sa tête en priant Dieu de la conserver au frais. Laisser couler la terre de ses semblables le long de ma vieille carcasse enchâssée dans un petit coin où les bruits de la nature joueront leur concert pour de rares spectateurs encore valides. Desserrer, les uns derrière les autres, les douze clous qui nous séparent de ce paradis que l’on ne voit ailleurs que dans son propre cœur. Obscurité lumineuse d’une nuit sans lune ou nous rirons ensemble de toi, de moi, de nous, de vous. Eclater de prétention face à ceux qui ont eu peur de nous rejoindre. Découvrir la douceur d’un visage ruisselant, un jour de premier novembre, inondant notre casemate de fleurs déjà inutilement mortes pour une cause perdue d’avance.

Contribution sans râture un soir de printemps.

 

Pascal SERRE

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10 avril 2012 2 10 /04 /avril /2012 00:17

Logo cercle écrivains

Avec Jean-Jacques DALLEMAND et Jacques TEULET, et nous en sommes ravis, vous êtes déjà quelques-uns, amis auteurs, à avoir répondu à notre proposition de rejoindre notre Cercle. A noter, parmi vous, Alain BERNARD l'ancien chroniqueur de SUD-OUEST, Pascal SERRE, chroniqueur sur PERIBLOG, Michel BERNARD et son épouse Joëlle LE PONTOIS, auteurs d'une biographie sur le général francophile de Jaure Nikolaï Nikolaevitch OBROUTCHEFF. A noter, également, Marie-Françoise MESPOULEDE qui vient de publier un second recueil de poésie : EVANESCENCES dont vous venez de voir un court portrait et celle de trois autres auteurs dont Giampiero MARONGIU, auteur de polars (1), Gilles LANGLOIS (2) autre auteur de polar, la Québécoise Marie CHOLETTE en qualité d emembre associée.

     

Nous devrions pouvoir annoncer rapidement le nom de d'autres amis auteurs de Périgueux ou du Périgord. Surtout après notre présentation à la halle du Coderc samedi 7 avril captée par le photographe émérite Joël LARIVIERE qui a également accepté de nous rejoindre au Cercle ! Et dites-vous bien que plus nous serons, plus nous aurons de chance à faire passer nos messages ! Si vous voulez en savoir un peu plus, retrouvez-nous également sur Facebook :

http://www.facebook.com/groups/274982539242703/

 

Louis PETRIAC

 

 

(1) Le châtiment des élites publié chez Les Nouveaux Auteurs l'an passé.

(2) Cellules publié actuellement chez Edilivre.

 

Tags : DALLEMAND, Alain BERNARD, Pascal SERRE, BERNARD, MESPOULEDE, polars, Gilles LANGLOIS

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9 avril 2012 1 09 /04 /avril /2012 09:51
Le châtiment des élites" Quand je voyage, concède-t-il, j’emporte ma culture sur mon dos, avec le temps cela me donne l’air d’un escargot. "
Né à Tunis en 1960, d’un père sarde et d’une mère sicilienne fille de militaire, ingénieur métallurgiste au chantier de constructions navales de la Goulette, Giampiero MARONGIU est arrivé à Marseille à l'âge de 8 mois avec les derniers français rapatriés presque volontaires.
Président de l’Union des Français à l’étranger à Doha depuis 2008, ce chef d’entreprise, expatrié perpétuel, mêle aux cultures d’ailleurs les accents de sa France natale. Ingénieur dans les secteurs de l’énergie, il a parcouru le monde au service des multinationales pendant près de trente ans. L’Amérique du Sud, l’Afrique, l’Asie et le Moyen-Orient sont les jalons de son itinéraire de nomade. De carnet de route en détours de mots, et de décalages en horizons nouveaux, le besoin d’écrire s’est imposé à lui comme un mode de vie.
Nous sommes ravis de l'accueillir au Cercle en qualité de membre associé et nous vous proposons de vous faire découvrir son portrait :
ainsi que quelques extraits des thèmes de son dernier ouvrage : Le châtiment des élites publié chez Les Nouveaux Auteurs en cliquant sur l’extrait vidéo ci-dessous :
I
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6 avril 2012 5 06 /04 /avril /2012 17:37

Affichette Coderc 07.04

 

Notre premier rendez-vous est pris ! Avec une présence sous la halle du Coderc qu'une affichette distribuée sur place vous rappellera si toutefois vous ne l'aviez pas notée ! Cette dédicace démarrera dès 9 heures du matin et elle se tiendra jusqu'à 13 heures !

 

A DEMAIN DONC !

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5 avril 2012 4 05 /04 /avril /2012 07:43

Pascal Serre identitéNietzche et Wagner dans leurs longues promenades sur les falaises embaumées des senteurs méridionales qui les ravissaient puisèrent des sujets de discussion sur ce qui les taraudait. C’est ici que le philosophe allemand écrivit dans son carnet : " Je ne suis pas en état de reconnaître une grandeur qui n’est pas sincère envers elle-même, se jouer à soi-même. La comédie me soulève de dégoût… " On n’échappe pas à l’automne. Les amants y sont comme les feuilles mortes. Ils ne se parlent déjà plus, chargés de souvenirs, arrivés à la pointe de leur passion et qui ne peuvent s’avouer qu’il leur est impossible de poursuivre plus loin.

Place Saint-Marc à Venise. Cet amour toujours renouvelé, réincarné, est une somme toujours enrichie et qui présente une continuité qui lui conforte cette première place pour l’éternité.

Il y a un paysage propice aux adieux. Venise est l'un de ces sommets de l’adieu où s'abandonnent au commun des mortels, le sentiment et le jugement qui s'y séparent simultanément. Le mur est là. Entre nous et cet être que l'on dépouille. Cet être qui est autant le nôtre que celui de l’autre. C’est à ce moment précis que l’on n’a jamais autant aimé celle – ou celui – que l’on quitte. Peut-être est-ce là qu’il me faut chercher cette aversion mais aussi cette attirance pour les quais de gare. Cette angoisse de l’inconnu et le bonheur de la découverte. Et si un quai de gare c’était tout simplement la rencontre entre deux êtres qui ne se connaissent pas, n’ont aucune raison de se regarder, de se parler : " sur quel quai se situe le train pour… l’Amour ".

C’est aussi, peut-être, parce que je n’ose pas sortir de cette gare de petite ville de province où désormais je vis. Petit, je venais voir, la nuit, partir les trains. Je m’imaginais presque que Christophe Colomb commandait la manœuvre. Ce qui amène à penser qu'un quai ouvre sur la mer, la terre mais, surtout vers l'inconnu.

C’était merveilleux l’odeur du charbon, les sifflements des machines et du chef de gare, les gens qui couraient après les wagons qui avaient commencé leur marche vers la vie. Les visages figés contre les vitres et qui agitaient des mouchoirs ou la main. La passerelle dépassée il restait deux lumières rouges sur le dernier wagon et j’attendais qu’elles soient disparues pour reprendre la main de mon grand-père et rentrer à la maison. Un autre quai. Et, calfeutré au fond de mon lit, les draps et couvertures empilées, je rêvais à ce sommet de l’adieu avec ses mystères que je ne parvenais pas, tout comme aujourd’hui encore à comprendre. Alors, sur ce quai de gare qui est devenu ma vie j’attends.

 

L'exaltation discrète du quai de gare

O qu’elles furent belles, douces, tendres, passionnées, éclairées, toutes aussi discrètes qu’exaltées ces arrivées en forme de départ ! C’est aussi ainsi que je me retrouve désormais sur un quai de gare. Toutefois plus près du butoir car c’est là que chaque soir, le cuisinier du café de la gare m’apporte mon dîner. Et puis, je m’endors en attendant le prochain train. Acte de foi ou patience ? Cadavre immobile déjà embaumé contre l’esprit et l’amour qui n’a pas eu le temps de vieillir je m’accroche à cette image éternelle du " train des têtes couronnées : le " Paris-Simplon-Venise ".
Je reprends chaque soir ma vieille brochure un peu usée datant de 1986 et je me remémore ce voyage si fantastique quand en plus la jeunesse est au rendez-vous, que l’Amour durera le temps du trajet et, qu’une fois de plus, au quai de la grande gare de Venise " Alla Ferrovia " je retrouvais ce fameux quai qui ressemble à tous les autres.
Et je lis avec délectation : " Embarquer à bord du Venice-Simplon-Orient-Express ne consiste pas à prendre n'importe quel train en marche. 17 voitures bleu et or sillonnent l'Europe plus de 30 semaines par an. Le Venice-Simplon-Orient-Express possède 11 voitures-lits construites entre 1926 et 1931 ".

Pour vivre cette aventure comme à l'époque, les cabinets de toilettes ont été restaurés à l'identique et offrent de l'eau chaude produite par de petits poêles. Les autres voitures du train vous replongent également dans les années folles et chaque détail a été étudié pour rester fidèle au train d'époque... Le temps est suspendu... et l'élégance du lieu et de vos compagnons de voyage vous emporte dans une autre dimension, une autre époque…

   

Chaque passion est unique, seule, première.

C’est au petit matin de septembre 1986, sortant de la gare de Santa Lucia, le terminus devant le grand canal, au petit matin, alors que la brume glissait encore au-dessus des eaux saumâtres et que de partout surgissait une animation totalement inhabituelle que j’ai découvert que le dernier amour n’existe pas. Chaque passion est unique, seule, première. Elle est la résultante de toutes les précédentes. Aucune jalousie à appréhender ou retenir. Cet amour toujours renouvelé, réincarné, est une somme toujours enrichie et qui présente une continuité qui lui conforte cette première place pour l’éternité. Une sorte de chaîne avec autant de maillons que de regards croisés, de corps enlacés, d’épreuves surmontées que l’on ne doit jamais chercher à savoir quand cela a débuté et encore moins vouloir entendre cette fin qui ne ressemble à rien d’autre que cette multitude d’émotions jamais satisfaites et nous invitent dans les moments d’abandons à redresser la tête, aller vers l’inconnu, offrir une rose, saisir une main et se laisser guider vers un autre quai.

Le café Florian à Venise. Cette fois-ci pour monter dans le premier train, car peu importe la destination, seuls comptent le voyage et cette rose encore sans épine qui nous tient la main en pensant, une fois de plus, que l’éternité ne peut durer qu’une seconde.

2004. Les années passées, l'Amour a voulu que cette fois-ci, pour monter dans le premier train - une voiture à moteur que mon innocent libertinage avait figé dans un souvenir utopique - je revienne dans cet espace réduit et si grandiose qu'est Venise. Certes, peu importe la destination, seuls comptent le voyage et cette rose encore sans épine qui nous tient la main en pensant, une fois de plus, que l’éternité ne peut durer qu’une seconde et toute une vie. Mais Venise entretient avec une exquise délicatesse cet Amour qui ne soit pas un mensonge et prenne le sens de la réalité. J'ai cru, une fois de plus que la vérité était illusion et cette dernière une vérité. La question reste entière.

 

Pascal SERRE

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4 avril 2012 3 04 /04 /avril /2012 11:04

st front et m. de la boétie

Au Coderc, samedi 7 avril prochain, sera organisée la toute première rencontre-dédicace de notre cercle. Avec l'aide, il est important de le signaler ici, de Cathy La Fromagère, en charge de la Présidence des commerçants de la halle du Coderc et de la Municipalité de Périgueux.

Une manifestation qui fera l'objet, parallèlement, de la distribution sur le marché d'une affichette distribuée par notre garde-chapêtre Jean-Pierre MONTMARSON destiné à attirer l'attention du public sur la création de notre Cercle. 

 

Y seront en présence de quelques autres invités et membres, parmi lesquels Jacques TEULET, l'artiste peinte symboliste et Pascal SERRE, le célèbre et talentueux chroniqueur périgourdin :

- à partir de 9h00 et jusqu'à 10 heures, Louis PETRIAC, auteur avec Christian FOUINAT d'une biographie consacrée aux COMPAGNONS DE LA CHANSON : Entre mythe et évidences, qui a été proposée l'été dernier par MARIANNE MELODIE avec une remastérisation des succès Polydor des années 1960 dans un coffret.

- entre 10 heures et 11 heures, Michel BERNARD de la Société Historique et Archéologique du Périgord, auteur avec son épouse Joëlle LE PONTOIS d'une biographie consacrée au général francophile de Jaure : Nikolaï Nikolaevitch OBROUTCHEFF ,

- entre 11 heures et 12 heures, Alain BERNARD, qui dédicacera ses ouvrages sur la cuisine du terroir

et Jean-Jacques DALLEMAND, auteur de l'Eloge du Pays Vésunien ,

- entre 12 heures et 13 heures, Marie-Françoise MESPOULEDE, auteure d'Evanescences et de l'Absence.

 

Vous pouvez désormais nous retrouver également sur Facebook :

http://www.facebook.com/groups/274982539242703/

 

Tags : COMPAGNONS DE LA CHANSON, OBROUTCHEFF, l'Eloge du Pays Vésunien, Evanescences

 

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1 avril 2012 7 01 /04 /avril /2012 09:51

Dallemand et Teulet

Le peintre Jacques TEULET d'Alles-sur-Dordogne (à droite sur la photo) nous avait fait l'amitié le 18 mars dernier de venir nous rendre visite au Salon du Livre de Cubjac où Jean-Jacques DALLEMAND présentait son Eloge du Pays Vésunien. Une participation qu'il évoque dans son dernier billet des arts (n° 109) auquel vous pourrez accéder en cliquant sur le lien qui suit :

http://ddata.over-blog.com/0/39/80/37/Billet-arts-109-Teulet.pdf   

 

Nous vous invitons à vous arrêter également sur son parcours et un site :

 

http://www.jacteulet.4yu.fr/ 

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27 mars 2012 2 27 /03 /mars /2012 08:35
Marie-F identité cercleJe menais une existence paisible et ordinaire... trop paisible. Ce genre d'existence paisible qui nous rappelle, souvent lorsque l'on ne s'y attend pas, qu'elle est un défi, un combat incessant, que nous pauvres mortels nous oublions parfois... et qui nous afflige d'événements douloureux et de blessures profondes.    
D'un passage à vide parsemé de nuits blanches, sombre le jour, je devais me sortir...
Avec des mots j'ai transcrit mes maux pour dire, crier, évacuer, me libérer ! Au fil des jours, des mois, l'écriture est devenue "une drogue douce" qui m'a transportée, élèvée, nourrie, à ne plus pouvoir m'en passer... C'est sans doute ainsi que naissent les passions !
Je trouvais la mienne, et du malheur surgissait une richesse intérieure.
Ma rencontre avec Louis Pétriac, éditeur chez DECAL'AGE PRODUCTIONS Editions allait me permettre de publier en juillet 2010 un premier recueil de poésies L'absence.
Son aide précieuse, et sa conviction, m'ont donnée l'envie de continuer, et début février de cette année, un second ouvrage a été édité : "EVANESCENCES", entre rêve et réalité.
Ah le rêve, quelle source d'émotion et d'inspiration !
 
Je suis bien entendu heureuse de participer à cette création du CERCLE des ECRIVAINS du PERIGUEUX-PËRIGORD.
 
Tags :  absence
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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 00:18

Dallemand Identité cercleTotalement imaginaire, ce pays Vésunien pourrait s'intituler "Amphitryon malgré lui", puisque tant de peuples sont venus dîner en ce pays, et autant y viennent encore aujourd'hui, vivre une vie nouvelle.. Tout comme dans "Carina et ses chats" (1), j'ai voulu dessiner des personnages ne se nourrissant que d'ambiguités, de malentendus, tous soumis à la question essentielle et universelle de l'identité. De cette quête perpétuelle des racines lointaines et inconnues, que pouvons-nous savoir ? que puis-je connaître ? que nous est-il permis d'espérer ? et que devons-nous faire, sinon rêver encore et toujours d'un passé dont nous ignorons l'essentiel.
Refusant ces fumeuses simplifications propres aux ignorants, qui placeraient l'homme sujet intermédiaire entre la nature et l'animal, je décris délibérément les singulières et troublantes existences de monstre cannibale, de tailleur d'images pieuses - ancêtres supposés -....... tous amoureux de la beauté qu'elle soit féminine ou paysagère....., tantôt monstres et tantôt parents familiers...
La Vézère, la Dordogne, nos marchés-forum sont peut-être le dernier espace libre où le locuteur d'antan vient dire l'Histoire dont nous sommes redevables à l'égard de nos pères et de nos maîtres...
Eloge du Pays Vésunien, c'est en somme la description d'un aller-et-retour entre la frayeur de subir les abandons de notre culture rustique et le choix de l'art de vivre... à notre guise.

J.J. DALLEMAND
Cercle des Ecrivains de Périgueux-Périgord

(1) Carina et ses chats paru en 1993 aux Editions la Lauze

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24 mars 2012 6 24 /03 /mars /2012 15:26

Logo cercle écrivainsA la suite de la création du CERCLE DES ECRIVAINS de PERIGUEUX-PERIGORD réalisée à l'initiative de Jean-Jacques DALLEMAND*, cet espace a un but : celui de permettre à tous ceux qui le souhaitent de nous rejoindre pour qu'ensemble, je dis bien ensemble, nous puissions nous organiser, échanger et communiquer mieux.

Car personne ne le niera, lorsqu'ils sont publiés, les auteurs peinent souvent à rencontrer ceux auxquels le message était destiné, je veux parler de leur seul public. Soit par choix de la plupart des organisateurs de salons qui s'érigent en véritables remparts, soit tout simplement par désintérêt des médias. Il suffit de tellement peu de choses pour qu'un bon livre ne trouve jamais l'écho qu'il aurait mérité. Et comme l'union fait la force, il était primordial que nous mettions donc en commun nos énergies !

Voilà qui est désormais fait avec ce site sur lequel figureront, non seulement le nom des derniers ouvrages publiés en Périgord, mais également une liste des manifestations et des salons organisés en Périgord. Il était en effet primordial que nous puissions disposer d'un outil de communication permettant d'échanger entre nous et avec ceux qui restent hélas, trop souvent, sourds à nos appels à relayer des informations vitales !

Ami(e) internaute, ne craignez pas de vous signaler à notre attention si vous êtes vous même écrivain.   

Et comme c'est l'usage quand on lance un mouvement comme le nôtre, je conclurais avec un "Longue vie à notre cercle !"

 

Louis PETRIAC

www.decal-age-productions.com

 

 

* Auteur de l'Eloge du Pays Vésunien

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